**1. Titre et référence exacte du document législatif :** GRAND CONSEIL QUE 2232-A de la République et canton de Genève **2. Objectif principal :** Répondre à la question écrite urgente de Céline van Till concernant l'efficacité et la proportionnalité de l'investissement dans le dispositif Stick’AIR en relation avec les bénéfices environnementaux. **3. Modifications législatives proposées et leur portée :** Le document ne propose pas de modifications législatives, mais il décrit le cadre légal existant qui régit le dispositif Stick’AIR, notamment la loi d’application de la loi fédérale sur la protection de l’environnement et le règlement régissant le dispositif d’urgence en cas de pics de pollution atmosphérique. **4. Discussions ou avis exprimés dans le document (majorité/minorité) :** Le Conseil d’Etat aborde plusieurs questions soulevées par l’activation du dispositif Stick’AIR, notamment le coût de sa mise en œuvre, le bilan environnemental, et la communication autour de son activation. Il souligne que la communication n’a pas été optimale et qu'il existe des défis à atteindre tous les conducteurs avec l’information en raison de la nature imprévisible des pics de pollution. **5. Implications principales de ce projet :** - Le coût financier du dispositif pour l’État de Genève est estimé à 29 000 francs en 2020 et à 224 000 francs en 2025. - La pollution évitée grâce à l’activation du dispositif est principalement liée à une réduction des oxydes d’azote, estimée à 23%. - La détermination de la fréquence d'activation future du dispositif est complexe en raison de sa dépendance aux conditions météorologiques. - Des mesures de communication ont été mises en place pour informer le public, touchant potentiellement jusqu'à 380 000 personnes, bien que l’objectif de toucher tous les conducteurs reste difficile à atteindre.