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Importé le: 16/11/2025 21:20

Statut: Traité

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Résumé

**1. Titre et référence exacte du document législatif :** GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève QUE 2236 Signataire : Skender Salihi Date de dépôt : 1er septembre 2025 **2. Objectif principal :** Le document vise à clarifier si une cheffe de service aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) a engagé sa propre fille, soulevant des préoccupations éthiques et de gouvernance. **3. Modifications législatives proposées et leur portée :** Le document ne propose pas de modifications législatives spécifiques, mais soulève des questions sur la procédure d'engagement et les garanties de transparence dans le cadre des recrutements au sein des institutions publiques. **4. Discussions ou avis exprimés dans le document :** Le document exprime des préoccupations concernant le népotisme et son incompatibilité avec les principes d'équité, de transparence et d'égalité de traitement dans la fonction publique. Il demande des éclaircissements au Conseil d'État sur la situation. **5. Implications principales de ce projet :** Si les faits sont avérés, cela pourrait entamer la confiance du public envers les HUG et soulever des questions sur la gouvernance et l'éthique dans les recrutements au sein des institutions financées par les contribuables.

Texte extrait

GRAND CONSEIL

de la République et canton de Genève

QUE 2236

Signataire : Skender Salihi
Date de dépôt : 1er septembre 2025

Question écrite urgente

Une cheffe de service aux HUG a-t-elle engagé sa propre fille ?
Il nous est récemment parvenu des informations selon lesquelles une
cheffe de service aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) aurait
procédé à l’engagement de sa propre fille.
Si ces faits devaient être avérés, ils soulèveraient un sérieux problème
d’éthique et de gouvernance dans une institution publique financée par les
contribuables.
En effet, une telle situation s’apparenterait à un cas manifeste de
népotisme, pratique incompatible avec les principes d’équité, de transparence
et d’égalité de traitement qui doivent présider aux recrutements dans la
fonction publique et parapublique.
Dans ce contexte, nous prions le Conseil d’Etat de bien vouloir apporter
un éclairage aux questions suivantes et nous le remercions d’avance de ses
réponses et des éclaircissements qu’il apportera à une situation qui, en l’état,
risque d’entamer la confiance.
– Le Conseil d’Etat peut-il confirmer si l’engagement de la fille d’une
cheffe de service aux HUG a effectivement eu lieu ?
– Le cas échéant, selon quelle procédure et quelles garanties de
transparence cet engagement a-t-il été mené ?
– Quel est le type de permis de séjour de la cheffe de service concernée et
de sa fille ?