1. **Titre et référence exacte du projet de loi/document législatif** Proposition de motion M 2775, présentée par les députés Mmes et MM. Florian Gander, Ana Roch, Patrick Dimier, Daniel Sormanni, Sandro Pistis, Thierry Cerutti, François Baertschi, Jean-Marie Voumard, Françoise Sapin. Date de dépôt : 21 juin 2021. 2. **Objectif principal** L'objectif principal de la proposition de motion est de mettre fin aux traitements disproportionnés et répressifs envers les deux-roues motorisés à Genève, en favorisant leur intégration et en améliorant les infrastructures de stationnement. 3. **Modifications législatives proposées et leur portée** Les modifications proposées incluent : - La construction rapide de nouvelles places de parking en surface pour les deux-roues motorisés. - La compensation des places de stationnement automobile supprimées par des aménagements pour deux-roues motorisés à proximité. - La tolérance envers les deux-roues motorisés stationnés sur les trottoirs, tant que la distance de 1,50 mètre est respectée. - La suppression des distinctions entre deux-roues et deux-roues motorisés sur les places de stationnement existantes. - La création d'un rapport annuel sur le nombre de places de stationnement aménagées par rapport au nombre de deux-roues motorisés immatriculés. - Le respect du vote du parlement genevois concernant la fin de la répression envers les deux-roues motorisés. 4. **Discussions ou avis exprimés dans le document (majorité/minorité)** Le document exprime une critique majoritaire concernant la dérive répressive à l'encontre des deux-roues motorisés, en soulignant une disparité de traitement par rapport aux deux-roues non motorisés et une inaction sur les demandes précédentes formulées dans la motion M 2039. 5. **Implications principales de ce projet** Les implications principales de ce projet incluent une amélioration des conditions de stationnement pour les deux-roues motorisés, une réduction des mesures répressives à leur encontre, et une reconnaissance des droits des usagers de la route qui paient pour circuler sur la voie publique. Cela pourrait également entraîner un changement dans la perception et le traitement des deux-roues motorisés par les autorités.