32798_P02243.pdf
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Importé le: 07/05/2025 09:10
Statut: Traité
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Fonctionnalités avancées
Résumé
1. Titre et référence : "Pétition pour le réexamen du métro automatique étudié en 1987 par le Conseil d’Etat" (Ref.: G 2243)
2. Objectif principal : L'objectif de la pétition est de réévaluer l'opportunité et la faisabilité du métro automatique comme moyen de développement de la mobilité collective genevoise, en vue d'une potentielle application mentionnée à l'article 4 LRTP rs/GE H 1 50.
3. Modifications législatives proposées : La pétition exprime le vœu d'actualiser l'étude de 1987 du Conseil d'Etat sur la question de l'opportunité et la faisabilité du métro automatique dans le cadre des transports publics genevois.
4. Discussions ou avis : En 1988, le conseiller d’état Ramseyer (alors chargé du dossier) a déclaré que l'option métro automatique était une option frileuse et insuffisante. En 2017, dans un courrier au Conseil fédéral concernant la Diamétrale (L 13176), le Conseil d’état a souligné que l'option tram de 2009 ne pourrait plus être retenue à l'horizon 2045-2050 en raison des nouvelles developments prévues dans ce secteur.
5. Implications principales : Le document ne fournit aucune information sur les implications principales de cette réévaluation. Cependant, le résumé de l'étude de 1987 montrait que des investissements dans les trams étaient encore pertinents sous certaines conditions.
Texte extrait
GRAND CONSEIL
de la République et canton de Genève
P 2243
Date de dépôt : 6 mars 2025
Pétition
pour le réexamen du métro automatique de l’étude du Conseil
d’Etat en 1987 établissant alors dûment son opportunité et sa
faisabilité
Introduction : régulièrement, la doctrine d’engagement cantonale
genevoise en matière de transports publics (dans le cadre de l’art. 11 LMob
rs/GE H 1 20) doit être réévaluée à l’horizon de 10 ans. Les circonstances
actuelles rendent cette démarche tout particulièrement opportune.
Dans l’optique de pallier le risque de dispersion des investissements,
la présente pétition exprime le vœu d’actualiser l’étude de 1987 du
Conseil d’Etat quant à l’opportunité et la faisabilité du métro
automatique comme outil de développement de la mobilité collective
genevoise pouvant se matérialiser ensuite par mention à l’article 4 LRTP
rs/GE H 1 50.
Constatation d’une évidence absolue : introduit en 1988 dans notre
planification cantonale idoine, ledit métro automatique y fut retiré dix ans
plus tard (12 juin 1998 / PL 7807 du député Grobet). Pourtant, le 12 janvier
1998, le Conseiller d’Etat Ramseyer (en charge du dossier alors) déclarait à
ce sujet : « De l’avis du Conseil d’état, c’est une option frileuse, étriquée,
totalement insuffisante du point de vue du transfert modal souhaitable et de
notre ambition pour les transports publics » ; puisse un bel hommage lui
être rendu vu sa vision d’avenir.
L’avenir allait donc lui donner pleinement raison. Le 20 décembre
2017 dans un courrier au Conseil fédéral quant à la Diamétrale (L 13176), le
Conseil d’Etat relève que, à l’horizon 2045-2050, l’option tram de 2009
« ne pourra plus reprendre la demande générée par les nouveaux
développements prévus dans ce secteur » (soit celui de la Route de Meyrin
vers Blandonnet).
P 2243
2/2
Le rapport de 1987 précité montrait que des investissements dans le
réseau des trams demeuraient pertinents sous condition de préalables
bien établis. Hier comme aujourd’hui, en particulier comme à Lausanne
ou Lyon, les deux modes s’exploitent en cohérence.
N.B. 1 signature
M. Philippe Ruchet
Avenue de la Grenade 21
1207 Genève
de la République et canton de Genève
P 2243
Date de dépôt : 6 mars 2025
Pétition
pour le réexamen du métro automatique de l’étude du Conseil
d’Etat en 1987 établissant alors dûment son opportunité et sa
faisabilité
Introduction : régulièrement, la doctrine d’engagement cantonale
genevoise en matière de transports publics (dans le cadre de l’art. 11 LMob
rs/GE H 1 20) doit être réévaluée à l’horizon de 10 ans. Les circonstances
actuelles rendent cette démarche tout particulièrement opportune.
Dans l’optique de pallier le risque de dispersion des investissements,
la présente pétition exprime le vœu d’actualiser l’étude de 1987 du
Conseil d’Etat quant à l’opportunité et la faisabilité du métro
automatique comme outil de développement de la mobilité collective
genevoise pouvant se matérialiser ensuite par mention à l’article 4 LRTP
rs/GE H 1 50.
Constatation d’une évidence absolue : introduit en 1988 dans notre
planification cantonale idoine, ledit métro automatique y fut retiré dix ans
plus tard (12 juin 1998 / PL 7807 du député Grobet). Pourtant, le 12 janvier
1998, le Conseiller d’Etat Ramseyer (en charge du dossier alors) déclarait à
ce sujet : « De l’avis du Conseil d’état, c’est une option frileuse, étriquée,
totalement insuffisante du point de vue du transfert modal souhaitable et de
notre ambition pour les transports publics » ; puisse un bel hommage lui
être rendu vu sa vision d’avenir.
L’avenir allait donc lui donner pleinement raison. Le 20 décembre
2017 dans un courrier au Conseil fédéral quant à la Diamétrale (L 13176), le
Conseil d’Etat relève que, à l’horizon 2045-2050, l’option tram de 2009
« ne pourra plus reprendre la demande générée par les nouveaux
développements prévus dans ce secteur » (soit celui de la Route de Meyrin
vers Blandonnet).
P 2243
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Le rapport de 1987 précité montrait que des investissements dans le
réseau des trams demeuraient pertinents sous condition de préalables
bien établis. Hier comme aujourd’hui, en particulier comme à Lausanne
ou Lyon, les deux modes s’exploitent en cohérence.
N.B. 1 signature
M. Philippe Ruchet
Avenue de la Grenade 21
1207 Genève